Voilà maintenant plusieurs années qu’Anne-Sophie Lapix fait office de vedette sur le plateau du 20h de France 2. Mais durant sa carrière, elle n’a pas eu souvent le privilège de s’entretenir avec Emmanuel Macron. Voici les confidences de la journaliste sur le sujet.
Anne-Sophie Lapix cash sur ses rapports avec Emmanuel Macron
Ces derniers temps, les rumeurs courent selon lesquelles le chef d’Etat préfère certains journalistes à d’autres. A ce propos, une source anonyme confie : « Il a ses propres choix », dans les colonnes du Parisien. De son côté, Anne-Sophie Lapix a toujours eu des ennemis au sein du palais présidentiel. Toujours selon la même source, l’animatrice est « loin de faire l’unanimité ».
Dans les colonnes du Monde, Emmanuel Macron a indiqué ne pas apprécier le journal trop « critique » de la journaliste. Comme le rapporte la principale intéressée : « Il s’agit de ses proches. Je me suis entretenu avec lui à deux reprises seulement et je n’ai pas ressenti de tensions. Après tout, le programme est critique avec tout le monde. C’est notre rôle en tant que service public ».
« Des rapports professionnels et détendus »
Depuis 2017 où il a été élu Président de la République, Emmanuel Macron n’intervient pas souvent dans le service public. Le chef d’Etat préfère les entretiens sur TF1 avec Gilles Bouleau ou encore Jean-Pierre Pernaut. De son côté, Le Parisien assure que les relations entre le Président et Anne-Sophie Lapix sont « professionnelles et détendues ». Comme le souligne la présentatrice de France 2 : « Nous avons fini par l’accueillir avant le second tour des présidentielles ».
Bien que la jolie blonde ait eu le privilège d’interviewer tous les prétendants à l’Elysée au cours de la dernière campagne présidentielle, elle a tout de même été rejetée lors du débat de l’entre-deux tours puisque c’est Léa Salamé qui a été désignée pour animer le duel entre le chef d’Etat sortant et sa rivale de l’époque, Marine Le Pen. A ce propos, la présentatrice de France Télévisions assure : « Je n’étais pas le choix numéro 1. Je me doutais que Marine Le Pen ne me choisirait pas…A aucun moment, je n’ai pensé être la seule qui devrait être désignée pour présenter le débat ».