En exposant sa fortune sur les réseaux sociaux, cette femme ne s’attendait pas à devoir rembourser la somme de 25 000 euros. Que s’est-il passé ? On vous raconte tout !
La caisse d’allocations familiales a décidé de durcir les règles et sanctions à l’encontre des fraudeurs. Et ce n’est pas cette femme qui nous dira le contraire !
Les fraudes se multiplient, la CAF prend les choses en main
La CAF a décidé de sortir l’artillerie lourde face à l’explosion des cas de fraudes au sein de l’institution. Dernièrement, Gabriel Attal a annoncé l’accès aux fichiers des compagnies aériennes (Passenger Name Record) en vue de faciliter les procédures de contrôle. Cette initiative devrait permettre de suivre avec exactitude les déplacements des allocataires pour savoir s’ils habitent à titre permanent ou non en France.
Rappelons que pour profiter des prestations sociales comme l’ASPA (allocation de solidarité aux personnes âgées), il faut obligatoirement résider 6 mois sur 12 dans l’Hexagone. Ce délai est fixé à 8 mois sur 12 pour les bénéficiaires de l’APL (aide personnalisée au logement) contre 9 mois pour le RSA (revenu de solidarité active). Selon le ministre, ces mesures devraient bientôt être harmonisées à neuf mois.
Le verdict est sans appel !
Cette mère de famille célibataire s’est donc amusée à exposer sa richesse sur les réseaux sociaux. Mais la CAF a fini par se rendre compte de sa supercherie et devra donc rembourser les 25 000 euros qu’elle a touché et auxquels elle n’a pourtant pas droit ! En effet, la principale intéressée a menti au sujet de ses conditions de vie en expliquant qu’elle vivait seule alors qu’elle partage sa vie avec son compagnon de 45 ans.
Très vite, la mère de famille a été interpellée pour fausse déclaration. Aux 25 000 euros à rembourser s’ajoute une peine d’amendement de 1 500 euros. La jeune femme a été condamnée pour fausses déclarations tandis que son partenaire, considéré comme complice, est soupçonné de recel. Gare aux fraudeurs donc !