Voilà maintenant plusieurs mois que Frédéric François a dû céder plusieurs de ses biens immobiliers à cause de ses galères financières. Parmi eux figure sa villa que le chanteur a dû vendre à prix bradé sur le marché.
Frédéric François au bout du rouleau ?
Après 50 ans de carrière réussie dans le monde de la musique française, Frédéric François avait rencontré des difficultés sur le plan financier. A titre de rappel, c’est dans les années 60 que l’artiste fait ses premiers pas dans la musique en tant que chanteur et guitariste. Il a ensuite poursuivi son chemin en solo en 1969. Son premier titre intitulé Sylvie connaît un succès sans précédent. Il en va de même pour son adaptation du long-métrage britannique Les belles années de Miss Brodie.
Si tout se passe bien pour le chanteur dans la vie professionnelle, les choses ne sont pas tout aussi glorifiantes sur le plan personnel. Selon France Dimanche, le principal intéressé se serait débarrasser de sa villa des Antibes, située sur la Côte d’Azur à travers une annonce déposée chez une agence immobilière. Il s’agit d’une villa avec vue sur la mer qui a servi de tournage du clip de son titre « A tous ceux qu’on aime ».
Une villa cédée à quelques millions d’euros
Pour cette mise en vente sur le marché, Frédéric François se serait attendu à la somme de 3 millions d’euros. Interviewé par nos confrères de Soir Mag, des spécialistes de l’immobilier assurent qu’il s’agit d’un prix bradé. Plus tard, le chanteur avait vendu un autre bien situé sur les îles Canaries. Des ventes inattendues qui suscitent l’interrogation au sujet de la santé financière de l’artiste.
Selon certains observateurs, ces ventes auraient un rapport avec l’affaire impliquant le chanteur, accusant ce-dernier de ne pas avoir rémunéré certains de ses employés. A la suite d’une comparution en justice, le principal intéressé n’a cependant pas eu droit à un verdict public. En attendant, il est attendu pour le 15 octobre prochain où il donnera un spectacle au Blanc-Mesnil dans le cadre de sa tournée anniversaire.