C’est l’histoire d’un homme rusé qui travaille en télétravail. Pour pouvoir gonfler ses revenus annuels, il a décidé de contracter trois CDI en même temps. Ce qui lui permet d’empocher chaque année plus de 300 000 euros de salaire, sans que personne ne s’en rende compte !
Télétravail : il cumule 3 CDI pour gagner plus d’argent
Cet ingénieur de 48 ans, originaire du Texas, touche un salaire plus que confortable puisqu’il gagne plus de 300 000 euros chaque année en travaillant à distance. Pour ce faire, il a tout simplement décidé de multiplier les “contrats à durée indéterminée” via son travail en ligne, sans que ses employeurs ne se rendent compte de rien. Son premier job lui prend 4 à 5h de travail par semaine et le deuxième emploi, 30 à 40h par semaine. De peur de se faire licencier à la suite d’une restructuration inattendue, il décidé de contracter pour un 3e CDI.
Au grand bonheur du quarantenaire, son second travail ne va lui prendre que 5 à 8h par semaine à l’issue de la restructuration. Raison pour laquelle il va donc entamer un 3e job. Avec de l’organisation et de la persévérance, il parvient à trouver son rythme et tous ces contrats lui rapportent 314 000 euros/an. Ce qui lui permet de gagner sa vie tout en réglant les prêts pour sa maison et ses différents biens.
Quel est son secret pour ne pas se faire prendre ?
Le plus fascinant dans l’histoire de cet ingénieur qui travaille en télétravail, c’est que jamais personne ne s’est douté de la situation. Comme il évolue dans le domaine du high-tech, il est parfaitement conscient de devoir travailler plus de 40h par semaine. Pour gérer les réunions en ligne, il utilise son agenda en marquant les dates consacrées aux autres métiers comme “privés”. Il lui arrive même de participer à plusieurs réunions à la fois. Mais pour éviter de se faire prendre, il désactive le son de la caméra du PC.
Dans son témoignage, l’ingénieur reconnaît que c’est beaucoup de travail et qu’il lui arrive parfois d’être victime de “burnout”. Cela dit, cette pratique n’est pas interdite en Amérique à condition de respecter la clause de confidentialité mentionnée dans le contrat.