A l’heure actuelle, de plus en plus d’arnaqueurs se font prendre auprès de la CAF. Plus d’échappatoire pour les personnes malveillantes, le gouvernement est aujourd’hui sur le point de mettre en place des moyens pour combattre les actes des fraudeurs.
De nombreux cas d’escroquerie sont aujourd’hui recensés sur le territoire de l’Hexagone. Cela concerne les abus concernant les allocations de la CAF et de Pôle Emploi.
Un exemple concret d’une fraude récemment découverte
Les français comptent parmi les plus favorisés. En effet, le gouvernement attribue des allocations mensuelles comme le RSA ou encore l’ARE. Il existe même des indemnités journalières.
Malgré le fait que l’État octroie des subventions pour aider les foyers, certains en profitent pour faire des actes malveillants. En 2020, un agent de la CAF d’Eure-et-Loir a aperçu un cas de fraude.
En effet, il a étudié le dossier d’un allocataire et s’est rendu compte que ce dernier avait toujours déclaré son statut « sans revenu ni activité » alors qu’il était déjà salarié et même indemnisé pour motif d’accident du travail.
Après ce constat, on a contrôlé son domicile. Résultat, l’arnaqueur aurait touché 10 000 euros de plus pendant près de deux ans.
Impossible d’échapper à la surveillance de la CAF : les allocataires sont désormais dans la ligne de mire
Voici les détails concernant les moyens déployés par la CAF :
- Tous les allocataires qui prennent l’avion seront surveillés ;
- La CAF peut appuyer la surveillance grâce à des outils intelligents ;
- Le gouvernement va vérifier les factures d’électricité ou encore les opérations bancaires des allocataires suspects ;
- La CAF va vérifier les fichiers des passagers des compagnies aériennes par le biais du fichier PNR, pour être sûr qu’un allocataire a bien résidé en France.