Bonne nouvelle pour les contribuables qui souhaitent se renseigner au sujet de la valeur de l’impôt sur le revenu qu’ils doivent débourser cette année. Dans cet article, nous vous expliquons en détails les procédures à suivre pour procéder à la simulation en ligne disponible sur le site de la DGFiP (direction générale des finances publiques).
Impôt sur le revenu : un outil innovant à la disposition des contribuables en 2024
Même si l’année 2023 fait déjà figure du passé, il convient de respecter certaines coutumes. Parmi elles figure la déclaration des revenus suivie du paiement des impôts. En 2024, les contribuables n’échapperont pas à cette obligation ! Pour le moment, aucune date n’a été communiquée concernant la déclaration de l’IR pour cette nouvelle année. Il convient néanmoins d’anticiper la valeur de l’impôt pour éviter les mauvaises surprises le moment venu.
Raison pour laquelle, le fisc a mis en place un dispositif en ligne innovant pour permettre aux contribuables de connaître le montant à payer. Cet outil donne un aperçu des revenus 2023 et permet d’évaluer sans difficultés la note à payer auprès du fisc. Pour ce faire, rendez-vous sur le site officiel des impôts en respectant les consignes indiqués.
Comment procéder à la simulation ?
Dans le cadre de la loi de finances 2024, le barème d’imposition a fait l’objet d’une mise à jour et il est désormais fixé à 4,8%. Selon nos confrères de Ilétaitunepub, ce simulateur existe sous deux versions. La première version est simplifiée tandis que l’autre affiche un modèle complet. Tout va varier suivant le niveau de revenus que le contribuable souhaite déclarer. Dans les cas des revenus fonciers, des pensions de retraite ou des salaires par exemple, il est préférable d’opter pour la première option.
Dans tous les cas, il ne faut pas omettre d’enlever les charges courantes au cours de la simulation pour éviter les erreurs de calcul. Ceci inclut entre autres les frais de garde d’enfant ou encore les pensions alimentaires. L’autre version est dédiée aux contribuables qui doivent déclarer plus que les gains et les charges (indépendants, agriculteurs, commerçants…).
Parmi les données à entrer figure le montant des revenus professionnels, le montant du prélèvement à la source, la taille du foyer, la situation familiale, le rendement des actions ou encore la valeur des dons remis au profit des associations le cas échéant.