Alors que la date limite de déclaration des revenus approche à grands pas, les escrocs profitent de l’occasion pour cibler leurs victimes. Voici comment ils opèrent !
Arnaques en ligne : les méthodes d’hameçonnage s’amplifient
Voilà maintenant plusieurs années que les arnaques téléphoniques font des ravages partout dans le monde. Avec la révolution du numérique et des appareils technologiques, les tentatives de fraudes deviennent monnaie courante. Les arnaqueurs ne cessent de rivaliser d’ingéniosité pour s’emparer des données personnelles, notamment les coordonnées bancaires.
Les malfrats utilisent tous les moyens possibles pour usurper l’identité de leurs victimes dans le but d’utiliser leur argent à des fins illégales. Parmi elles, certaines se retrouvent sans le sou du jour au lendemain. D’où l’intérêt de redoubler de vigilance. Identifier les malfrats devient aujourd’hui difficile. En effet, les cybercriminels font preuve de ruse pour gagner la confiance des victimes.
Généralement, les escrocs se font passer pour des organismes connus à l’instar de la Poste, l’assurance-vie, les banques ou des sites gouvernementaux. On parle de technique d’hameçonnage. Les victimes atterrissent alors vers des liens frauduleux qui permettent aux pirates de s’emparer de leurs informations personnelles.
Impôts 2023 : les contribuables pris pour cibles
En ce moment, certains escrocs exploitent lanxiété des contribuables à l’approche de la date limite pour la déclaration des revenus. A ce propos, il convient de faire attention aux messages en provenance du gouvernement. Avant d’y répondre, pensez à examiner minutieusement le contenu du mail et son émetteur. Selon nos confrères de TF1 Info, les arnaqueurs invitent les victimes à cliquer sur un lien pour des raisons de sécurité.
Une fois que vous cliquez dessus, le piège se ferme immédiatement sur vous. Sachez que l’Etat ne réclamera jamais vos données personnelles par téléphone, par SMS ou par courriel ! Si vous tombez sur ce genre de message, n’hésitez pas à le signaler en contactant le 33 700, la plateforme en charge des spams vocaux. On vous aura prévenu !