En France, les locataires doivent respecter un certain nombre de dispositions prévues par la loi. Pami elle figure cette mesure qu’il faut impérativement connaître pour éviter de payer le prix fort à l’issue du départ.
Une règle liée à la régularisation que peu de locataires connaissent
C’est l’histoire d’un ancien locataire qui s’est retrouvé dans l’obligation de payer plus de 1 000 € alors qu’elle n’occupait plus le logement en question depuis bien longtemps. Il ne s’agit cependant pas d’une erreur car ce droit du bailleur est régi par la loi. Mais pour l’ancien locataire, c’est la douche froide ! D’ailleurs, les locataires sont nombreux à ignorer l’existence de cette règle et ce cas n’est malheureusement pas isolé.
Chaque mois, les locataires ont pour obligation de payer un loyer qui se divise en deux catégories : d’une part, la somme équivaut à l’habitation et d’autre part, celle qui est relative aux charges (entretien des parties communes, copropriété, ordures ménagères, etc.). Il arrive qu’en raison d’une augmentation des prix, le forfait convenu au départ ne suffise pas à couvrir ces dépenses.
Dans ce cas, une régularisation est nécessaire pour combler la différence entre la somme réunie par le propriétaire et la valeur réelle des charges annuelles. Dans le cas des copropriétés, les régularisation en question prennent souvent beaucoup de temps.
Des anciens locataires qui paient le prix cher
Pour Marie et sa colocataire, les conséquences ont été dramatiques. Ils se sont retrouvés dans l’obligation de payer la somme à régularisée, deux ans plus tard. Pour les deux amis qui n’étaient au courant de rien, la déception est immense puisque la note à régler s’élève à 550 € chacune.
Quoi qu’il en soit, ces régularisations doivent normalement être justifiées avec ces preuves fiables pour que le locataire se plie à la mesure en question. La législation prévoit qu’une régularisation peut intervenir même en cas d’ignorance ou de négligence de la part du propriétaire. Vous voilà prévenu !