Alors que l’inflation continue à fragiliser le quotidien de nombreux Français, le dirigeant de Leclerc, Michel Edouard Leclerc est passé aux aveux concernant la date prévue pour la réduction des prix en caisse. On vous dit tout dans les prochaines lignes !
Michel Edouard Leclerc “fait un geste” face à l’inflation
Voici une annonce qui devrait réjouir les consommateurs face à la flambée du prix des produits alimentaires sur le marché. Dans sa prise de parole, Michel Edouard Leclerc souligne : “L’inflation représente une aubaine pour les producteurs. Ce fléau leur permet d’accroître leur chiffre d’affaires et donc de mettre en valeur leur cours boursier. La hausse des prix contribue à maximiser les profits. Le fils du directeur associe d’ailleurs l’inflation à un impôt sur les citoyens” et il espère bien que les négociations vont aboutir.
A quand la baisse des prix en caisse ?
Selon le PDG du groupe de discount, 65 industriels ont donné leur accord pour entamer des négociations tout en demandant des augmentations. Raison pour laquelle le directeur redouble de méfiance concernant les réductions de prix pour le mois de juillet, comme promises par Bruno Lemaire. Le principal intéressé quant à lui mise sur une diminution de prix pour la rentrée prochaine.
A ce propos, Michel Edouard Leclerc souligne : “On négocie le mois de juillet et on espère pouvoir écouler les stocks rémunérés au prix fort au mois d’aût pour procéder à la réduction des prix”. Il ajoute ensuite que les prix devraient être divisés par deux d’ici le mois de septembre. En revanche, la diminution de prix ne s’appliquera pas aux produits laitiers ainsi qu’aux fruits et légumes. Une situation qui est due aux aléas climatiques en Italie et en Espagne.
Selon Michel, les beaux fruits sont “rares”. Enfin, le directeur s’est montré rassurant envers les parents des élèves car pour la rentrée, la flambée des prix sera limité à 2 ou 3%. En ce qui concerne les périodes festives de Noël, le directeur recommande de procéder dès maintenant à l’achat de jouets pour ne pas à subir la hausse des coûts de transport.