En cette période de crise marquée par la forte inflation, nous sommes nombreux à vouloir mettre de l’argent de côté dans l’espoir de le faire fructifier. Si vous prévoyez d’investir la somme de 50 000 euros, nous vous recommandons d’opter pour l’une de ces alternatives.
Les avantages du PEA, de l’ETF et de l’assurance-vie
Pour maximiser le rendement financier, il convient d’investir le surplus de capital. Sur le marché financier, vous avez le choix entre plusieurs options d’épargne possible dans le but de faire fructifier votre argent. Parmi elles figure le plan d’épargne en actions (PEA) qui permet de profiter de plusieurs avantages. Au bout de 5 ans, vous ne régleez pas d’impôts sur les plus-values. En revanche, il faudra payer les prélèvement sociaux.
Si vous souhaitez investir autement, vous pouvez miser dans les ETF. Pour investir sur les marchés financiers sans prendre le moindre risque, il est recommandé d’ouvrir un CTO (compte-titres) afin d’assurer un rendemment optimal sur l’ensemble des places boursières et financières. D’autre part, l’assurance-vie est également parfaite pour investir sur les marchés boursiers, immobiliers ou obligataires grâce à des unités de comptes.
Investir 50 000 euros : les options avantageuses
Si vous allez investir la somme de 50 000 euros, il est recommandé de miser sur le plan d’épargne retraite (PER). Celui-ci se divise en deux catégories. D’une part, le fonds euros à capital garanti présente l’avantage d’être sans risque. Le taux de rémunération est en revanche plus faible. D’autre part, les supports en unités de comptes offrent des taux alléchants mais les risques sont plus élevés.
Notons que les fonds déposés sur un PER sont bloqués jusqu’à la retraite sauf cas exceptionnel : incapacité partielle ou totale de l’épargnant, chômage, décès du partenaire, achat de résidence principale…Il est possible de déduire les sommes remises sur le PER en respectant un certain plafond. En ce qui concerne les indépendants, ils ont le droit de déduire annuellement leurs revenus fiscaux dans la limite de 351 000 euros. A cela s’ajoute une majoration de 15% sur les bénéfices imposables.