En cette période de l’année où il fait particulièrement chaud, rien de tel qu’une bonne baignade pour se rafraîchir. Pour ceux qui prévoient d’aménager une piscine chez eux, voici les catégories de piscine qui permettent d’éviter les taxes..
A combien s’élève la taxe à payer pour les piscines ?
Lorsque vous aménagez une piscine chez vous, vous êtes tenu de régler la taxe d’aménagement. Il s’agit d’un impôt local dont une part revient aux autorités régionales et une autre à la commune de votre région. La taxe piscine est fixée à 250 euros par m² cette année. A cela s’ajoute la taxe d’habitation et la taxe foncière. Rappelons que le premier concerne exclusivement les propriétaires de résidences secondaires. Notons que la piscine hors sol, qui constitue une dépendance rattachée à la maison du propriétaire doit être considéré dans le calcul de ces deux taxes.
Voici les catégories de piscines exempts d’impôts
Selon la législation, certaines catégories de piscines privées ne sont pas imposables. Ce qui permet aux propriétaires de faire des économies considérables surtout en ces temps de crise. C’est notamment le cas des piscines dont la dimension ne dépasse pas 10 m². Selon le code de l’urbanisme, ces derniers ne sont pas considérés par la taxation, qu’ils soient enterrés ou hors sol.
De plus, les piscines inférieures à 10m² ne font pas l’objet d’une déclaration en mairie. Autrement dit, ils ne vont pas renflouer la facture à payer lors du règlement de la taxe foncière. Si votre piscine dépasse les 10m², il faut obligatoirement déclarer le bien et s’acquitter de la taxe piscine. N’oubliez pas au passage de faire une demande de permis de construire !
Les piscines hors-sol ne sont pas non plus imposables même si elles sont supérieures à 10 m². Cette règle s’applique néanmoins à condition que le bien ne requiert aucun travaux de terrassement et qu’il peut être démoli à tout moment. Pour minimiser les dépenses, vous pouvez également opter pour la location de piscine en s’adressant par exemple à un proche ou à un voisin.