Plaque d’immatriculation : cette nouvelle disposition provoque une pluie de PV

A la suite de quelques modifications sur la plaque d’immatriculation, une personne originaire de Toulouse a dû composer avec une pluie de contraventions en dépit d’une alerte lancée auprès de la mairie. On vous raconte tout dans les prochaines lignes !

Histoire de la plaque d’immatriculation

Dans les années 1800, la plaque d’immatriculation minéralogique est devenue obligatoire pour tous les automobilistes. Ce dispositif a vue le jour pour attester que la voiture est immatriculée dans le but de mieux cerner l’identité du propriétaire en cas de délit ou d’accident. Au fur et à mesure que les années se sont écoulées, la plaque d’immatriculation a fait l’objet de nombreuses évolutions.

Bientôt, la plaque d’immatriculation pourrait servir à payer sans contact au niveau des péages ou des stationnements de parking par exemple. C’est un défi que se lance aujourd’hui l’entreprise Lyf, spécialisée dans les méthodes de paiement mobile. Grâce à cette innovation, il n’y aura plus besoin de sortir un ticket ou une carte bancaire au moment de régler le parking. Le conducteur n’aura même plus à faire baisser la vitre pour atteindre le guichet !

Des progrès innovants

Pour profiter de ce dispositif, il suffit de télécharger l’application LyfPay accessible sur AppStore et sur PlayStore. Il permet également de réaliser diverses transactions dans le commerce et d’enregistrer un mode de paiement par le simple biais du numéro d’immatriculation. Pour sortir du parking, il faudra simplement rouler devant la barrière de sortie qui va identifier automatiquement la plaque d’immatriculation via une caméra.

Pour l’heure, cette révolution ne marche qu’avec les parkings de l’entreprise Parcus située à Strasbourg. Le dispositif ne devrait pourtant pas tarder à s’étendre au niveau des autres services au cours des prochaines années à venir.

Une nouvelle mesure contraignante

Dans les rues de Toulouse, ce changement a mené la vie dure à Marie-Laure Ichaniou qui est à la tête de l’association de quartier Chalets-Roquelaine. Après avoir égaré sa carte grise, la principale intéressée a dû modifier sa plaque d’immatriculation. Dans les colonnes de La dépêche, la Toulousaine confie : « J’ai tenté de joindre les services de la mairie pour fournir ma nouvelle immatriculation ». La conductrice est pourtant abonnée au stationnement qui permet d’éviter les PV.

Malheureusement pour cette dame, ses appels n’ont jamais abouti. Résultat, le dispositif de contrôle n’arrive pas à reconnaître sa nouvelle plaque d’immatriculation. Ceci s’est ensuite soldé par une pluie de procès-verbaux, près d’une quinzaine de contraventions en l’espace d’une semaine, comme l’explique la victime. Et cette dernière d’ajouter : « Et ça ne s’arrête plus », sur une note d’indignation.

Une Toulousaine paie le prix fort

Dans sa prise de parole, Marie-Laure se plaint des renouvellements d’abonnements qui prennent beaucoup de temps chaque année. Elle a pourtant réalisé des oppositions à chaque amende et ces opérations se sont faites avec succès. A ce propos, elle souligne : « On devrait pouvoir mentionner que l’abonnement est en phase de renouvellement ». De son côté la mairie a réagi en expliquant que lors de l’adhésion d’une nouvelle carte grise, le demandeur doit respecter un délai de traitement du dossier.

Celui-ci s’élève généralement à 15 jours. Une fois ce délai écoulé, la voiture sera automatiquement prise en charge par le réseau informatique. Le propriétaire sera alors mis en garde par courrier électronique. Tant qu’il n’a rien reçu, il ne pourra pas prétendre toucher au tarif résidant. D’où l’intérêt de planifier ce temps de latence.

Un autre cas similaire s’est déroulé dans le quartier Bonhoure où une dame âgée de 75 ans s’est garée durant quelques minutes pour régler son système de localisation. Dans cette rue vide, il n’y a pas beaucoup de voitures qui circulent. La victime raconte : « A ma grande surprise, on m’a collé une contravention une dizaine de jours plus tard. Ça m’a mis hors de moi ! Je me suis arrêtée un court instant sans l’intention de stationner. Ce n’est pas normal que l’on ne puisse pas tolérer ces quelques minutes. J’ai procédé à un recours pour non-stationnement ». Pour le moment, la principale intéressée attend toujours le verdict.

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