C’est une histoire ahurissante qui s’est déroulée à Nice, dans les Alpes-Maritimes où une adolescente de 17 ans a abusé de la confiance de la voisine pour squatter son appartement durant plusieurs semaines. Le plus surprenant c’est que la jeune femme a occupé illégalement le bien avec des dealers. Plus de détails dans les prochaines lignes !
« Elle a profité de ma bienveillance… »
Cette mère de famille pensait aider l’adolescente en lui laissant les clés mais sa naïveté va lui coûter très chère. Pour cette habitante de Nice, dans le quartier de Las Planas, le cauchemar a duré pendant plusieurs mois. Selon nos confrères de Nice Matin, la famille avait emménagé dans cet appartement l’été dernier. Au fur et à mesure que le temps est passé, elle s’est liée d’amitié avec le voisinage.
A ce propos, la maman de quatre enfants témoigne : « Un jour, une ado de 17 ans est venue nous voir et on a commencé à sympathiser. Elle s’est disputée à plusieurs reprises avec ses proches. Elle a profité de ma bienveillance pour tenter de s’installer chez moi le temps que les tensions se calment avec sa sœur et sa mère ». Mais très vite, la principale intéressée va susciter de vifs soupçons chez la voisine…
L’adolescente squatte la maison de sa voisine avec des leaders
La jeune femme a profité de l’absence de sa voisine pour s’emparer des clés de cette-dernière et entrer dans l’appartement. En effet, les propriétaires des lieux étaient absents car ils étaient partis en week-end. Dans son récit, la mère de famille poursuit : « Un beau dimanche, elle me transmet un texto : ‘Tu ne peux pas rentrer chez toi’ ». En réalité, elle avait occupé mon appartement avec des dealers. Malheureusement, il se faisait tard et les autorités ont refusé de descendre sur les lieux ».
Pendant plusieurs semaines, l’ado va occuper ce logement dans la plus grande illégalité et les vrais propriétaires se retrouvent dans l’obligation de se loger à l’hôtel. Une fois que les squatteurs partis, la mère de famille était consternée par l’état de son chez-soi. Comme elle le souligne : « C’était le grand bordel ! ». Depuis, la famille se résout à vivre dans la terreur. Toujours selon la mère de famille, on les a déjà menacés avec un pistolet. En attendant de trouver une autre maison, elle a pris la décision d’installer ses gosses loin de cet appartement.