A la base, la fin du ticket de caisse devait commencer au mois d’avril dernier en France. Finalement, cette mesure va s’appliquer à compter du mois d’août prochain. Mais quels sont les cas exceptionnels qui permettent aux consommateurs de continuer à percevoir le ticket de caisse ?
Une initiative d’ordre écologique
Dans l’optique de limiter le gaspillage, l’Etat a décidé de mettre fin à l’utilisation des tickets de caisse dans les commerces et les supermarchés. Cette mesure va ainsi s’appliquer sur l’ensemble du territoire français à partir du mois d’août prochain. Une prolongation indispensable face aux effets de l’inflation sur le pouvoir d’achat des consommateurs. En effet, ces-derniers doivent vérifier leurs dépenses avec minutie par souci économique.
Notons que la fin du ticket de caisse concerne également les coupons et divers bons d’achat. Il en va de même pour les tickets de carte bancaire. Quoi qu’il en soit, le client a le droit de réclamer un ticket de caisse, le cas échéant. Une diminution d’impression de ces bouts de papiers devrait permettre de réduire considérablement le nombre de papiers utilisés chaque année par les commerçants.
Fin du ticket de caisse : les cas exceptionnels
Notons qu’avec la fin du ticket de caisse, il devient plus difficile pour les consommateurs de contrôler les dépenses. Il convient donc de faire preuve de la plus grande vigilance lors du passage à la caisse en scrutant le moindre erreur. Aussi, sans ce ticket, il devient compliqué de prouver une quelconque opération commerciale et de décrocher un remboursement le cas échéant.
Des cas exceptionnels peuvent néanmoins se produire pour :
- les achats de biens durables (appareils électroménagers, high-tech, matériels informatiques…)
- les tickets de carte bancaire en cas d’annulation de transaction par exemple
- les paiements par carte qui ont fait l’objet d’un crédit
- les tickets en provenance des automates
- les tickets imprimés par pesage