LMNP : à quoi faut-t-il s’attendre en 2024 ?

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Dans le secteur de l’immobilier, il est important de se renseigner au sujet des lois en vigueur pour prendre les bonnes décisions qui s’imposent. Parmi ces mesures figurent celles régies par la loi LMNP qui va faire l’objet d’une évolution cette année. Plus de précisions dans les prochaines lignes !

A qui cette loi s’adresse-t-elle ?

La loi LMNP s’applique aux investisseurs qui prévoient de proposer des bien en location sur le marché. Elle permet d’optimiser le rendement du projet immobilier sur le long-terme grâce à des avantages fiscaux plus intéressants en comparaison avec la location non meublée. Cette disposition concerne les remises sur la TVA et celles sur les impôts. Par ailleurs, la location doit démarrer dans le mois qui suit la date de fin de construction du bien et de son achat si l’opération a lieu ultérieurement.

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Cette réglementation concerne les vieilles propriétés mais aussi les biens neufs. Dans le second cas, la loi LMNP permet l’achat de biens neufs et meublés destinés à la location résidentielle. Elle procure de ce fait un accès large à des revenus défiscalisés et d’aider les propriétaires à récupérer la TVA, avec un minimum de frais. Pour ce qui est des propriétés anciennes, cette législation concerne les biens anciens incluant les dépenses liées à l’entretien et à l’occupation.

Selon nos confrères de dynamique-mag, miser sur un investissement en LMNP pour des biens neufs améliore la valeur du bien et suscite davantage l’intérêt chez les futurs locataires. Ces derniers sont en effet certains d’abriter dans une maison qui est conforme aux normes techniques et environnementales en vigueur. De plus, ils n’auront plus à payer des frais pour d’éventuels travaux de réhabilitation.

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Ce que la loi LMNP prévoit en 2024

Grâce à la loi LMNP, les propriétaires profitent de deux régimes fiscaux différents pour la déclaration de revenus. D’une part, le régime micro-BIC et d’autre part, le régime réel simplifié. La décision de l’investisseur varie suivant la valeur des revenus générés. Cette année, il est recommandé d’opter pour la première option dans la mesure où les revenus sont inférieurs à 70 000 €. Dans ce cas, un abattement de 50% est prévu sur les revenus locatifs. Au-delà de ce plafond, il est préférable de miser sur un régime réel simplifié pour optimiser le rendement du bien mis en location.

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