Coup de théâtre chez CHRONOPOST ! Un employé de l’entreprise s’est permis de détourner des chèques-cadeaux au sein de l’organisation pour les transformer en plusieurs milliers d’euros. On vous raconte tout dans les prochaines lignes !
Un salarié de CHRONOPOST face à de graves accusations
Récemment, le tribunal d’Alès s’est saisi d’une affaire d’une importance capitale. Un employé de CHRONOPOST, travaillant comme chauffeur-livreur pour la société a comparu devant le juge à cause de graves accusations à son encontre. Ce dernier est soupçonné d’avoir volé des chèques cadeaux d’une valeur de plusieurs milliers d’euros à l’entreprise. Au cours du procès qui s’en est suivi, le suspect a indiqué à plusieurs reprises qu’il a bien livré le colis au destinataire.
L’employeur estime cependant que les démarches suivies par le livreur ne sont pas conformes aux démarches habituelles. D’autant plus que le paquet qu’il devait livrer était considéré comme « à forte valeur ». Etant donné que les chèques cadeaux se sont volatilisés, le livreur est considéré comme premier responsable. Plus tard, ces derniers ont été retrouvés éparpillés dans différentes opérations.
L’enquête montre que les opérations ont été effectuées dans des magasins situés à proximité de Vaucluse, à un point situé suffisamment loin de l’adresse prévue pour la livraison. En raison du caractère flou de cette affaire, une enquête interne a plus tard été ouverte par les autorités.
Les résultats de l’enquête
L’enquête interne a permis de mettre le voile sur d’autres aspects inattendus de cette affaire. En effet, les enquêteurs ont découvert que le livreur avait effectué d’autres opérations frauduleuses au cours de sa carrière. De quoi rendre l’affaire plus compliquée. En vertu des réquisition du ministère public, le principal intéressé a écopé d’une peine d’emprisonnement de 10 mois avec surpris. Il devra également payer une amende de 5 000 € en parallèle. Cette affaire nous rappelle que quels que soient les mensonges et tromperies organisées par les voleurs, ils finissent toujours par payer de leurs actes. Gare à ceux qui auraient encore l’audace d’enfreindre la loi !