Inflation : top 5 des aliments à ne pas inclure dans ses courses pour faire des économies

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En cette période de crise marquée par la forte inflation, tous les moyens sont bons pour faire des économies. Aujourd’hui, nous vous dévoilons les aliments à ne pas inclure dans les courses pour minimiser les dépenses au supermarché

“Les consommateurs évitent certains produits…”

Selon nos confrères du Parisien, il aura fallu débourser près de 100 euros pour un panier de courses comprenant une trentaine de produits en 2022. Aujourd’hui, cette somme s’élève à 115 euros avec la flambée des prix des produits alimentaires. Selon les auteurs de cette étude, le jambon blanc affiche une hausse de prix de 20% contre 85% pour les endives ! Raison pour laquelle il est préférable de se priver de certains aliments au moment de faire les courses. 

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Il faut dire que l’inflation a également contraint les consommateurs à réviser leurs habitudes alimentaires. A ce propos, Julien Favre de l’institut IRI souligne : “Les produits dotés d’une valeur faciale conséquente ont diminué en terme de volume dans les magasins. Les consommateurs évitent certains produits notamment ceux issus des rayons alcool qui coûtent souvent très chers”

Il en va de même pour les produits dérivés du lait, la viande, les légumes, les poissons et les fruits frais qui sont de moins en moins prisés dans les supermarchés. A la place, les consommateurs préfèrent opter pour des marques pas chers. D’autres misent simplement sur une diminution des quantités achetées. Il est également possible d’utiliser des produits de substitution pour réaliser un maximum d’économies. 

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Les 5 aliments à éviter pour faire des économies au supermarché

Au top du classement, nous retrouvons la viande en barquette, qu’elle soit hachée ou surgelée. Les prix de ce produits ont connu une hausse de 25 à 30% en l’espace d’un an dans l’Hexagone. D’où l’importance de réduire sa consommation en misant sur des produits moins chers. D’autre part, les légumes et salades préparés sont de moins en moins prisés eux aussi. Les modèles déjà râpés et assaisonnés sont commercialisés entre 2 et 5 euros contre 1 à 2 euros le kilos dans les rayons légumes. 

L’eau en bouteille est la prochaine boisson sur la liste. Celle-ci est de plus en plus substituée par l’eau du robinet pour des raisons économiques et financières. Il en va de même pour les sauces et vinaigrettes qui sont faits-maison pour des soucis d’économies. Enfin, les consommateurs achètent de moins en moins de glaces et autres produits surgelés dont la hausse moyenne des prix a été estimée à 18% en 2022. 

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