Décidément, les temps sont durs pour les nombreux héritiers de Karl Lagerfeld à cause d’un compromis dans le patrimoine. On vous dit tout !
Plusieurs années après la tragique disparition de Karl Lagerfeld, ses huit héritiers semblent loin de profiter pleinement de l’héritage laissé par le regretté couturier allemand.
Gros coup dur pour les légataires de Karl Lagerfeld
Dernièrement, le Met Gala 2023 a été organisé en hommage à Karl Lagerfeld. Entre temps, sa succession est inscrite dans la capitale française compte tenu de ses nombreuses dettes fiscales. En effet, le célèbre styliste doit une somme conséquente à l’administration fiscale. Une situation qui n’est pas rassurante pour ses huits légataires, comme le rapportent nos confrères de glitz.
Ces derniers se retrouvent dans l’obligation de régler ces lourdes sanctions fiscales héritées de l’ex responsable artistique de Chanel. En tout, ces dettes s’élèveraient à plus de 20 millions d’euros. Quatre ans après le décès du styliste, l’accomplissement de son testament demeure au point mort. Le principal intéressé avait pourtant, de son vivant, procéder aux démarches nécessaires en 2017, soit l’année précédant sa mort.
Une demande rejetée
Malheureusement, la requête de Karl Lagerfeld a été déclinée. Parmi les légataires, Baptiste Giabiconi remporte 30% du patrimoine légué. Parmi les autres héritiers figurent Virginie Viard, celle qui est aujourd’hui à la tête de Chanel, Sébastien Jondeau, Brad Kroenig, Amanda Harlech, Caroline Lebar mais aussi l’ancienne attachée de presse du défunt, Sophie Langlade.
Bien évidemment, le designer a également pris sa gouvernante Françoise Caçote en considération. Cette-dernière doit d’ailleurs empocher la somme de 1,5 million d’euros pour prendre soin de Choupette, la chatte de compagnie de Karl. Malheureusement, en raison
d’un problème de règlement au sein de la Direction générale des finances publiques, les 8 héritiers pourraient ne jamais toucher l’héritage. D’ailleurs, une maison ayant appartenu au défunt a d’ores et déjà été vendue. Reste à savoir si les revenus générés par ces ventes atterriront un jour dans leur compte en banque…