Lors de son intervention au micro de RFM, Jean-Luc Reichmann a haussé le ton en s’exprimant au sujet de l’affaire Bastien Payet. A titre de rappel, les trois suspects ont retrouvé la liberté, au grand dam de l’animateur de TF1.
Une tragédie qui émeut Jean-Luc Reichmann
Jean-Luc Reichmann était l’invité de Bernard Montiel sur RFM. Le présentateur a profité de l’occasion pour revenir sur un drame qui fait actuellement grand bruit en France : la tragique disparition de Bastien Payet. Cet ancien participant des 12 coups de midi avait été violemment agressé dans la nuit du 9 au 10 mars 2019. Ce brillant jeune homme avait séduit les fans du jeu de midi de par son niveau de culture générale élevé et sa joie de vivre. Malheureusement, il a perdu la vie dans des circonstances traumatisantes, plongeant les proches et les fans dans l’indignation totale.
Ce drame est loin de laisser le mari de Nathalie Lecoultre indifférent. Dans sa prise de parole, il dénonce une injustice dans l’affaire liée au à l’agression du jeune prodige. L’animateur affirme que cette tragédie devrait rappeler au public à quelle point la violence peut être d’une cruauté en France. Pour l’interprète de Léo Mattei, cette épreuve est particulièrement difficile à surmonter. Comme il le souligne : « Je ne supporte pas une telle forme d’injustice » en faisant allusion au fait que les trois suspects dans le meurtre du jeune candidat aient été relâchés dans la nature. « Ça me met hors de moi », poursuit-t-il sur une note de colère.
Une mère de famille dévastée
A l’occasion d’un entretien pour Cnews, Frédérique, la mère de Bastien a pris la parole face à Jean-Marc Morandini : « Je ne suis en colère contre personne. Je veux juste qu’il y ait yn procès pour qu’on nous entende. Et puis, j’aimerais pouvoir tourner la page pour pouvoir progresser dans mon deuil. Ils m’ont tuée moi aussi. Je ne peux plus travailler à cause de mon invalidité. Avant, j’étais sage-femme. Ils m’ont pris mon enfant qui était toute ma vie. Aujourd’hui, je suis à moitié morte ». Des propos poignants…
