Le 15 décembre dernier, de nouvelles informations ont été communiquées concernant les réelles circonstances du décès de Matthew Perry. Retour sur ce communiqué officiel transmis par le médecin légiste de Los Angeles.
Décès de Matthew Perry
Au mois d’octobre dernier, les fans de Matthew Perry apprennent avec tristesse la tragique disparition de leur idole. Celui qui incarne Chandler Bing dans le feuilleton friends est décédé à l’âge de 54 ans. Selon nos confrères de The post, l’acteur gisait inconscient dans son jacuzzi, situé dans sa propriété à Los Angeles. Alors que le médecin légiste avait évoqué des modalités différées autour de cette tragédie, les résultats des derniers tests révèlent de nouvelles informations.
Depuis le décès du comédie, les hommages se sont multipliés sur la Toile. Les fans et les ex partenaires de la star dont Courteney Cox, Lisa Kudrow, Jennifer Aniston ou encore David Schwimmer ont tous tenu à lui adresser une pensée singulière. Dernièrement, Julia Roberts, son ancienne compagne a pris la parole au sujet de la tragique disparition de la célébrité.
Que lui est-t-il arrivé exactement ?
Il y a quelques jours, le médecin légiste a apporté des précisions autour du décès de Matthew Perry. La mort accidentelle du comédien résulterait des conséquences de la kétamine. Cet anesthésique est souvent utilisé dans pour atténuer les effets de la dépression chez les sujets souffrant de cette maladie. La mort de l’acteur serait également liée à d’autres paramètres dont la noyade, des troubles cardiaques mais aussi des effets de la buprénorphine. Ce médicament sert à lutter contre l’accoutumance aux opioïdes.
Dans son livre intitulé « Friends, mes amours et cette chose terrible », sorti en 2022, l’acteur est revenu sur son combat contre l’alcoolisme et l’addiction aux médicaments. Celui qui a déjà failli mourir à plusieurs reprises avait suivi une thérapie pour lutter contre l’anxiété. Comme le rapporte Variety : « Des doses importantes de kétamine ont été retrouvés dans le sang de la victime post-mortem, le décès est dû à la fois à une surstimulation cardiovasculaire et une dépression respiratoire ».
