Décidément, on est jamais à l’abri d’un imprévu dans l’émission “Affaire conclue”. Dernièrement, le programme a été suspendu après qu’un acheteur ait brisé un objet.
Voilà maintenant plusieurs années qu’Affaire conclue fait la pluie et le beau temps des fidèles téléspectateurs de France 2. Il faut dire que le magazine d’enchères présenté par Sophie Davant est très apprécié et suivi sur les réseaux sociaux. D’ailleurs, il ne manque pas d’imprévus sur le plateau !
“Je suis navré, ça s’est décollé !”
Dans cet épisode d’Affaire conclue, le vendeur du jour pensait conclure une belle affaire en proposant une voiture en version miniature évaluée à 100 euros par le commissaire-priseur. Avec une telle somme, les téléspectateurs ne s’attendaient pas à ce qu’il débarque dans la salle des enchères. Comme à l’accoutumé, les acheteurs ont contemplé l’objet du jour avant de donner leur avis. C’est à cet instant que les choses se sont gâtées.
Alors que Damien Tison avait saisi la voiture miniature, il a laissé tomber l’aileron par mégarde ! La séquence a été retransmise en directe à l’antenne. De quoi susciter l’hilarité chez ses collègues. Le principal intéressé s’est alors morfondu enexcuses : “Je suis navré, ça s’est décollé !”. Sur la Toile également, cette séquence a beaucoup fait réagir. Se sentant coupable, Damien a décidé d’augmenter la valeur du bien qu’il a finalement acheté à 270 euros.
Un autre incident le même jour !
Plus tard, un autre candidat s’est présenté dans la salle des ventes avec deux adorables fauteuils. Et bizarrement, la situation s’est répétée ! Sylvain a en effet été témoin d’un autre accident lorsque son objet s’est retrouvé entre les mains des acheteurs. Les mobiliers en question étaient évalués à 1 200 euros en raison de leur design et de leur rareté. Devant les caméras de France 2, Caroline Margeridon, Anne-Catherine Verwaerde, Damien Tison, Djamel Bentenah et Clément Anger se sont battus pour l’avoir.
A un moment donné, Caroline Margerdon lâche : “Aie, j’ai entendu quelque chose craquer !”. Fort heureusement pour l’antiquaire, il s’agissait simplement des ressorts du fauteuil. Dans tous les cas, la production redouble de vigilance pour éviter ce genre d’accident. Le cas échéant, elle prend les dispositions nécessaires. De leurs côtés, les acheteurs doivent faire attention pour que ce genre de désagrément ne se reproduise plus !
